Vingt ans après… Piret-Magazine

Piret
Magazine a vingt ans. Souvenez-vous, en septembre 1989, le numéro 1 paraissait,
avec une couverture jaune or de circonstance puisqu’on mettait en vedette les
noces d’or de Tante Célina et d’Oncle Joseph. La fête avait eu lieu au mois
d’août, et un numéro d’essai avait été réalisé pour la circonstance. Un bon
nombre de cousins s’étaient montrés intéressés, un “Comité Piret” avait été
constitué avec quelques bonnes volontés. Je souligne en particulier le rôle de
Jacques et Colette Piret, qui se chargeaient de photocopier les pages et de
diffuser les exemplaires…

Piret
Magazine a fait du chemin.

Des
centaines de pages dont vous avez souvent été les héros… et aussi les
écrivains. C’est pourtant un des aspects les plus difficiles : tenir la
longueur est une gageure.

Le passage
du support papier au support électronique sur l’Internet depuis l’an 2000 a
peut-être tari la veine des collaborations (?), mais il permet aussi de durer,
puisqu’on n’est plus tenu à un quota de pages et qu’un texte peut être publié
aussitôt qu’il est écrit,  il n’y a pas de délais impérieux. Pour cette étape
de la construction et de l’entretien du site web, il me faut remercier d’une
part Valéry Letroye, webmaster, fidèle dans la mise à jour chaque fois qu’on
lui fournit une information ; et d’autre part Laurent Wéry, qui s’est chargé de
l’encodage des données pour l’arbre généalogique avec le logiciel Heredis.

Faites
vivre le site Piret-Meurs

Pourtant,
il ne tient qu’à vous d’alimenter les histoires, et même de créer de nouvelles
rubriques si vous le souhaitez. Un petit récit de vos vacances, quelques
photos, une recette de cuisine, un poème, un conte pour enfants, etc., tout
cela peut faire vivre l’esprit de famille, entretenir et créer des liens. 

L’Histoire
de famille reste quelque chose de vivant et donc de changeant. Bien des
articles publiés, notamment sur la généalogie et l’histoire doivent être revus,
complétés, augmentés, parfois corrigés. Autant dire que la tâche reste vaste,
et qu’il faudrait revisiter ce qui fut écrit autrefois. C’est une des raisons
pour lesquelles la publication des anciens numéros sur l’Internet est un peu
gelée pour l’instant.

En ce qui
concerne l’histoire ancienne et la généalogie, il y a quelques obstacles qui
imposent des limites : le manque de documents facilement accessibles, la
difficulté d’orienter ses recherches et aussi celle de lire ces documents, car
l’écriture du XVIe siècle demande un déchiffrage patient, et plus on remonte,
plus c’est difficile. D’autre part, je n’ai plus le temps personnellement
d’aller fréquenter les archives ; lorsque je progresse, c’est grâce à des
contacts avec des chercheurs, ou lorsque l’opportunité me met sur une bonne
piste.

Prochain
rendez-vous de famille

Nous nous
acheminons vers une date clé : le centième anniversaire du mariage d’Adolphe et
Julia Tamigneaux, le 23 juin 2010. Nous fêterons l’événement par une grande
réunion de famille le dimanche 27 juin. J’ai entendu dire que ce serait chez
Michel Senterre à Vieux Genappe. Notez tous ce rendez-vous incontournable.

Depuis
quelques années, un Comité des fêtes Piret, quelque chose comme le CFPP, a pris
la relève de l’ancienne génération. Ils sont vraiment “phénoménals” et méritent
d’être dans le journal ! Piret-Magazine montre l’exemple !

Nouvelles
perspectives grâce à l’électronique

Avec un peu
de chance, nous aurons encore franchi une étape dans la conservation et
l’activation de la mémoire familiale grâce à l’électronique : Jules Meurs est
en train de scanner les albums photos anciens (de Baulers et d’Obaix). Il y a
déjà un travail d’identification qui a été réalisé, mais le travail reste
immense pour identifier les gens et pour déterminer l’année où la photo a été
prise. D’autant plus que les photos sont de petite taille et parfois de
mauvaise qualité. Cependant, nous serions à même de fournir à ceux qui le
souhaitent des CD de ces photos, identifiées ou non. Il faudra d’ailleurs
trouver le meilleur moyen de collecter les informations. D’autres peuvent se
mettre au travail sur leurs propres archives familiales pour partager les
connaissances et sauvegarder la mémoire.

Bisous à
tous

Jean-François