Descendance de Floris Charles Meurs : suite

I – Floris Charles Meurs

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II.6. Elie Floris Meurs

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II.6.1. Alice Meurs

Fille d’Elie Meurs et Marie-Hortense Minsart, née à Ixelles le 26 mars 1879, décédée à Ecaussinnes Carrières le 3 novembre 1902.

 : Alice Meurs.

Elle épouse civilement à Ecaussinnes d’Enghien le 5 octobre 1897 et religieusement à St-Remy le même jour Ernest Charles Querton, fils de Charles Querton, cultivateur à Mignault et Justine Hannicq (décédée à Mignault le 23 septembre 1881) ; né à Mignault le 30 janvier 1868, décédé à Ecaussinnes d’Enghien le 24 juillet 1927. Cultivateur. (1).


 : Alice Meurs et Ernest Querton.

Dont :

  1. Robert Elie Ernest, né à Ecaussinnes d’Enghien le 6 août 1898, baptisé à l’église St
    Remy le 18 août (ss Elie Meurs et Euphémie Querton), décédé à Fontaine-l’Evêque
    le 6 mai 1983, funérailles à Ecaussinnes, église du Sacré-Cœur le 10 mai 1983.
    Cultivateur à la ferme de Bel Air, qu’il quitte en 1957 (2). Il épouse à
    Ecaussinnes d’Enghien le 24 août 1920, et à l’église du Sacré Cœur le même
    jour, Marie Rebecca Eva dite Mariette Yernaux (3), fille de
    Félicien, maître de carrières, et de Alice Jaumot ; née à Ecaussinnes
    d’Enghien le 4 mars 1898, décédée à Soignies le 26 mai 1978, sans profession.


    : Robert Querton et Mariette Yernaux.

    Dont :

    1.1.
    Léopold, dit
    « Pol », né à Mignault (Petite Hollande) le 20 décembre 1922, décédé
    à La Louvière le 17 janvier 1991. Délégué commercial. Directeur de Home pour
    personnes âgées (4). Epouse à Ecaussinnes d’Enghien le 10 juillet 1948 Suzanne
    Marguerite Simone Berckmans, fille de René, agent de change et gérant du
    Crédit Communal à Ecaussinnes et Simone Letenre ; née à Ecaussinnes
    d’Enghien le 14 juin 1926, régente ménagère, professeur, ensuite gérante du
    Crédit Communal à Ecaussinnes. Mariage dissous. Dont postérité :

    1.1.1. Françoise Marie Hélène Simone Ghislaine, née à Uccle
    le 1er septembre 1954, baptisée à St Remy le 5 (ss Jacques Querton
    et Hélène Berckmans). Régente en histoire. Union libre avec Michel Cloquette,
    régent en français, professeur à St Gabriël, Braine-le-Comte. (5).

    1.2.
    Marius Maurice
    Alfred, né à Ecaussinnes d’Enghien le 20 juillet 1924, y décédé le 16 novembre
    1924.

    1.3.
    Jean-Marie
    Arnould Robert, né à Ecaussinnes d’Enghien le 3 juin 1928. Comptable, chef de
    service C.I.B. Epouse à Daverdisse le 17 septembre 1951 Marcelle Marie
    Ghislaine Jamotton, fille de Nestor, fermier à Mohimont, et Lambertine
    Grégoire ; née à Lavaux-Sainte-Anne le 3 septembre 1928. (6) Dont :

    1.3.1.
    Jean-François
    Marcel Robert Lambert, né à Hal le 2 août 1952, baptisé le 5 à St Remy (ss
    Robert Querton et Marcelle Jamotton). Représentant de commerce. (7) Epouse 1° à
    Ecaussinnes St Remy le 27 septembre 1975 Judith Fournier, fille d’André,
    sous-officier de gendarmerie, et Magdelaine Delhaye ; née à Tournai le 29
    mai 1952. Mariage Dissous. Epouse 2° Yvonne Genard, fille de Raymond
    Genard et Julienne Demulder. Du premier mariage, adoptée, Marie ; du
    second mariage, Elodie et Lara :

    1.3.1.1. Marie, née à
    Charleroi le 19 avril 1982

    1.3.1.2. Elodie Cédric
    Jules Marie Jean-François né à Soignies le 9 septembre 1987

    1.3.1.3. Lara
    Catherine Jean-Philippe Jean-François née à Braine-le-Comte le 28 septembre
    1990.

    1.3.2.
    Jean Marc Nestor
    Marie Ghislain, dit Marc, né à Bruxelles le 25 février 1954, baptisé à St Remy
    le 28 février. Epouse, civilement seulement, à Ecaussinnes le 23 avril 1979 Erina
    Marchetti
    (de Quenast ou de Hal), fille d’Eliseo Pietro, ouvrier, et
    Orsolina Maria Dapit. Mariage dissous. (8) Dont :

    1.3.2.1. Julien, né à
    Nivelles le 17 juin 1983, baptisé à Ecaussinnes St Remy le 21 avril

    1.3.2.2. Alice, née à
    Nivelles le 16 janvier 1986, baptisée le 25 mai à St Remy

    1.3.3.
    Jean-Philippe
    Raymond Suzanne, né à Bruxelles le 16 juin 1960, baptisé à Bruxelles le 19
    juin. (9) Epouse civilement à Ecaussinnes le 14 janvier 1988 Sophie Goret,
    fille d’Ernest, docteur en médecine, et de Marie-Thérèse Poulaint. Dont :

    1.3.3.1. Charlotte
    Cécile Manon, née à Ecaussinnes en mai 1988.

    1.3.3.2. Martin Ernest
    Jean-Phlippe, né à La Louvière le 22 janvier 1990

    1.3.3.3. Chloé Marine
    Marguerite, née à La Louvière le 20 juillet 1992.

    1.4.
    Jacques, né à
    Ecaussinnes d’Enghien le 7 décembre 1929. Technicien agronome, employé en
    agronomie (10). Il épouse à Nivelles le 12 décembre 1964 Antonia Regina
    Joanna Elisabetha Stessens, dite Tonia ou Antoinette, fille de Toon
    Stessens, docteur en philosophie et lettres, philologie germanique, professeur
    d’école normale, et de Maria Demulder ; née à Geel le 7 février 1930,
    décédée en 2007. Humanités secrétariat (sténo-dactylo), n’exerce pas de
    profession. Dont :

    1.4.1.
    Ingrid Marcelle
    Walter Ghislaine, née à Nivelles le 18 février 1966. Licenciée en histoire
    moderne, spécialisation en Bibliothèque-Edition de Louvain-la-Neuve. Epouse à
    Louvain-la-Neuve le 13 juin 1992 Philippe Jean Paul Lucien Catoire, fils
    de Paul Joseph Arthur Catoire et Micheline Florence Léocadie Soris ; né à
    Tournai le 3 novembre 1964 ; licencié en histoire. Dont :

    1.4.1.1. Guillaume
    Vincent Brigitte née à Ottignies le 19 novembre 1993

    1.4.1.2. Justine
    Michelle Brigitte, née à Highy ( ?) le 9 mai 1995

    1.4.2.
    Bernard Charles
    Monique Ghislain, né à Nivelles le 10 avril 1967. Licence en Communication
    sociale à LLN, dessinateur de cartoons, enseignant de philosophie à St-Luc
    Liège (11). Epouse à Louvain-la-Neuve le 18 août 1995 Emmanuelle Marie
    Hellin
    , fille de Léon Joseph Hellin (né à Tournai le 18 juillet 1926) et
    Jacqueline Legrain (née à Chercq le 7 avril 1930) ; née à Tournai le 6
    juin 1969 ; licenciée en sociologie. Mariage dissous. Dont :

    1.4.2.1. Léo, né à Gisozi
    (Rwanda) le 1 septembre 1996, adopté le 25 janvier 2000

    1.4.2.2. Noé, 7 ans en
    2008

    1.5.
    André Alphonse
    Richard, né à Ecaussinnes d’Enghien le 23 décembre 1932, décédé à Anderlecht le
    9 mars 2008. Docteur en droit UCL. Il épouse à Haine-St-Paul le 21 septembre 1957
    (12) Monique Julia Nelly Alice Ghisbain, fille de Jules et Claire
    Bodson ; née à Haine-St-Paul le 23 février 1936. Candidate en philosophie
    et lettres, professeur. (13) Dont :

    1.5.1.
    Catherine, née à
    Haine-Saint-Paul le 23 juin 1958. Infirmière A1. Epouse à Anderlecht le 3
    septembre 1983 Guy Joseph Berthe Dewolf, fils de Marcel Eugène Dewolf et
    Gilberte Joséphine Amélie Van Steen ; né à Leuven le 20 janvier 1955,
    décédé vers 2004. Vétérinaire. Dont :

    1.5.1.1. Nicolas Guy
    Vincent, né à Anderlecht le 15 novembre 1984

    1.5.1.2. Isabelle
    Catherine Anne, née à Anderlecht le 13 novembre 1986

    1.5.2.
    Vincent Hector
    Raoul Robert, né à Haine-Saint-Paul le 9 octobre 1961. Licencié en droit de
    l’UCL. Cadre Fortis. Epouse à Auderghem le 30 juin 1989, et à l’église ND du
    Blankendelle le 8 juillet 1989 Myriam Madeleine Malempré, fille de Paul
    Joseph Pierre Malempré (né le 23 mars 1919, directeur de l’Institut Cardijn) et
    Augusta Alberte Rosalie Catherine Michel (née le 28 octobre 1929) mariés à
    Angleur le 19 mai 1956 ; née à Leuven le 20 février 1961 ; licenciée en
    philologie germanique UCL, maîtrise de traduction. Dont :

    1.5.2.1. Sébastien
    Pierre Marie né à Braine-l’Alleud le 7 mars 1991

    1.5.2.2. Alexia
    Isabelle Monique Augusta née à Braine l’Alleud le 12 novembre 1992

    1.5.2.3. Marie
    Isabelle Claire Julie, née à Braine-l’Alleud le 5 novembre 1994

    1.5.2.4. Thibault, né
    à Braine-l’Alleud le 6 août 1998

    1.5.3.
    Pierre-Yves Jean
    Vincent André, né à Haine-Saint-Paul le 17 décembre 1967. Ingénieur commercial
    IAG de l’UCL à LLN. Epouse à Anderlecht le 6 mars 1993, et religieusement
    à Nil-Saint-Vincent le 13 mars 1993 Myriam Cohen, fille de Mimon Cohen
    et Agnès Yvonne Augusta Ghislaine Brancart, née à Anderlecht le 10 juillet
    1968. Diplômée EPHEC. Mariage dissous. Dont :

    1.5.3.1. Sacha Alain
    Vincent né à Anderlecht le 19 février 1994

    1.5.3.2. Valentine,
    née à Anderlecht le 13 janvier 1997

  2. René, né à Ecaussinnes d’Enghien le 6 mai 1900, y baptisé sans doute le même jour (ss
    Gustave Robert et Eliane Meurs), décédé à Auderghem le 14 février 1979. Il
    épouse à Etterbeek, St Antoine, le 22 septembre 1923 Thérèse Liénard,
    née à Bruxelles le 21 septembre 1903, décédée à Auderghem le 15 octobre 1967.

    : René Querton.

    Dont :

    2.1. Ernest,
    né à Auderghem le 3 mars 1926. Receveur de l’agglomération bruxelloise, ancien
    conseiller communal d’Auderghem. Il épouse à Auderghem le 21 septembre 1947 Germaine
    Alexandra Emilie Marie Drouart
    , employée, fille de André Henri Drouart,
    employé de banque, et de Jeanne Julienne Marie Aimée Georlette ; née à
    Saint-Gilles (Bruxelles) le 3 novembre 1923. Sans postérité.

Notes :
1/ Ernest Querton se remarie à Ecaussinnes d’Enghien le 19 novembre 1904 avec Zéphine Huart, fille de Charles, cultivateur, et Hidulphine Raulier, née à Montignies-lez-Lens le 21 avril 1864, décédée à Ecaussinnes d’Enghien le 1er août 1936. Dont postérité:

  1. Marguerite, née à Ecaussinnes d’Enghien le 2 février 1897 (avant le décès d’Alice Meurs !), baptisée à St Remy sous le nom de Huart, décédée à Marche en décembre 1986. Epouse à Marche-lez-Ecaussinnes Gaston Carlier.
  2. Richard Charles né à Ecaussinnes d’Enghien le 22 octobre 1905, y décédé en novembre 1977. Epouse à Ecaussinnes Sacré-Cœur le 27 juillet 1927 Marthe Blondeau. Dont : Gérard, né à EE le 8 mars 1928 et José, né à EE le 20 février 1932.
  3. Charles, né à EE le 7 août 1909. Epouse 1° à EE le 3 décembre 1935 Marie Thérèse Paternotte. Dont : Ernest, né à EE le 8 décembre 1940 et Marie-Rose, née à EE le 6 mai 1946. Epouse 2°, « sous la forme extraordinaire dûment autorisée par Mgr l’évêque » à Ecaussinnes, rue de Restaumont le 9 décembre 1976 Paula Nicaise.

2/ Robert Querton. Il figure parmi les joueurs de foot à Ecaussinnes, note du Val Vert 139 p. 108. Il était enthousiaste pour le football et avait offert une de ses prairies derrière sa ferme comme terrain de foot. Il avait construit lui-même les vestiaires, avec les montants tenant les plaques béton peints en vert, couleurs d’Ecaussinnes. Il a quitté la ferme en 1957. En 1986, quand je suis allé prendre des photos, la ferme tombait en ruines parce que les filles Demeuldre, héritières, ne parvenaient pas à s’entendre. La ferme a appartenu à la famille Terlinden : il faudrait explorer ce fonds pour faire l’histoire de la ferme.
3/ Mariette Yernaux : les Yernaux étaient surnommés « les Mitchou ». Les frères aînés de Mariette ont dilapidé la fortune venant des carrières et ont fait faillite.
4/ Léopold Querton : Engagé à l’American Red, Liège, le 23 juillet 1945
5/ Françoise Querton : M. et Mme Cloquette Querton, 282, chemin des (Dames ?), Braine-le-Comte.
6/ Jean-Marie Querton, toujours en vie en 2008. A quitté Ecaussinnes.
7/ Jean François Querton vit à Braine-le-Comte
8/ Jean-Marc Querton, en 2008, tient un magasin de bandes dessinées à Redu : « La Malle aux BD ».
9/ Jean Philippe Querton a été restaurateur, vivait à Feluy. Depuis 2004, il écrit des romans, policiers et autres ; habite à Ecaussinnes.
10/ Jacques Querton : activités au Congo/Zaïre et en Iran, raffineries de Tirlemont à Genappe. Habitait Thisnes, habite Nivelles.
11/ Bernard Querton. Filleul de Monique Querton (épouse d’André). Dessinateur de cartoons dans « Le Soir » (recueil publié) et, depuis 2007, dans « La Libre » (voir articles de philosophie le mardi). Professeur de philosophie à St Luc Liège. Habite Andenne en 2008.
12/ André Querton. Mariage religieux à Jolimont,Saint Hubert, le 21 septembre 1957. Habite une grosse maison à Anderlecht, rue du Hérisson.
André aime beaucoup son chat « Pistache », un beau chat de couleur bleue.
13/ Monique Querton. Ses parents se sont séparés alors qu’elle avait 8 ans, et elle n’a pas beaucoup connu son père. Enseignante durant 34 ans à l’Institut Notre Dame d’Anderlecht.

II.6.2. Eliane Meurs

Eliane Marie Aline, fille d’Elie Floris Meurs et Florence Ghislaine Meurs, née à Ecaussinnes d’Enghien le 4 février 1888, décédée à Bouillon le 12 mai 1918. Etudes à Ittre, en pension chez les sœurs.


: Eliane Meurs avec ses deux cousines, Aimée et Estelle Robert.

Elle épouse à Ecaussinnes St-Remy le 23 octobre 1909 Joseph Emile Corbisier, fils de Jean-Baptiste Corbisier, docteur en médecine, et de Henriette (prénom non officiel) Rosine Marie Hortense Miette ; né à Ecaussinnes d’Enghien le 20 octobre 1882, décédé à Anderlues le 19 novembre 1967. Fonctionnaire de l’enregistrement. Dont :

  1. Henriette, née à Ecaussinnes le 18 août 1910, baptisée à St Remy le 22 août 1910 (ss Elie
    Meurs, grand-père, et Henriette Miette, grand-mère), décédée à Lobbes le 17 novembre 1980. (2). Sans alliance.

  2. Marie Aimée Pauline Thérèse Ghislaine, née à Ecaussinnes d’Enghien le 22 juillet
    1911, baptisée à St Remy le 24 juillet 1911 (ss Paul Corbisier, oncle, et Aimée
    Robert, cousine). Elle épouse à Gosselies le 16 novembre 1950 Alexandre
    Thomas Yakimenko Tomascesky
    , né citoyen soviétique. (3). Dont :

    2.1. Véronique,
    née en 1951. Epouse à Wayaux, vers 1972, Luc Servais. Dont :

    2.1.1. Nathalie

    2.1.2. Fabrice

    2.1.3. Florence

    2.1.4. Joëlle

  3. Louis Jean Elie Thérèse Ghislain, né à Ecaussinnes d’Enghien le 15 juin 1912, baptisé
    à St Remy le 21 juin 1912 (ss Jean Corbisier, oncle, et Estelle Robert,
    cousine). Confirmé à Verviers, St Remacle, le 17 février 1925. Entré au
    monastère d’Orval le 7 octobre 1929, a pris l’habit en novembre de la même
    année (4). Profession solennelle à Orval le 9 décembre 1934 : il porte le
    nom de Père Elie. Arrivé à l’abbaye Notre Dame des Sept douleurs à Latroun
    (Jordanie) le 19 décembre 1935. Diaconat le 20 février 1937 des mains de
    Monseigneur Fellinger, évêque auxiliaire de Jérusalem à El Athrounn
    (Palestine). Ordonné prêtre le 18 décembre 1937. Mobilisé du 8 janvier 1842 au
    28 juillet 1945. Il remplit différents services à l’abbaye : hôtelier et
    secrétaire, infirmier, sous-prieur, cellérier. Elu Père abbé de l’abbaye de El
    Athrounn le 12 février 1952, il prend la devise « Christi vices ». Il
    participe au Chapitre Général des Cisterciens à l’Abbaye de Frattocchie en
    1962, et il rencontre le pape Jean XXIII. Démissionne le 31 janvier 1976.
    « Modèle d’humilité, de fidélité et de vie intérieure ». Décédé le
    mardi de Pâques 28 mars 1989. (4).

  4. Florent
    Alfred Louis Ghislain, né à Ecaussinnes d’Enghien le 23 mai 1913, baptisé à St
    Remy le 26 mai 1913 (ss Alfred Baguet, oncle, et Louise Corbisier, tante).
    Décédé à Chapelle lez Herlaimont le 9 mars 1980. (5). Il épouse à Charleroi,
    Eglise St Christophe, vers 1945, Camille Dorzée, née vers 1918.
    Dont :

    4.1. Anne.
    Elle épouse à Chapelle-lez-Herlaimont Etienne Deconinck. Le couple
    habite Chapelle. Dont :

    4.1.1. Benoît

    4.1.2. Olivier

    4.1.3. Arnaud

    4.2. Bernard.
    Epouse Elina Kaspzak. Rue d’Hurtebize, 3, Binche. Dont :

    4.2.1. Florence

    4.2.2. Hugues

    4.2.3. Nicolas

    4.3. François.
    Marié. Rue de la Poudrière, 33, 5100, Jambes.

  5. Paul Charles Marie Ghislain Corbisier, né à Bouillon le 22 juin 1914, décédé à
    Madrid le 12 décembre 1971. Il épouse à Berchem Anvers Fernande Wullus. Habite Stroombeek-Bever. (6). Dont :

    5.1. Anne-Marie.
    Epouse de Charles Colson. Dion-le-Val. Dont :

    5.1.2. Cécile

    5.2. Philippe.
    Epouse Nadine Declercq. Kinshasa. Dont :

    5.2.1. Evelyne

    5.2.2. Frédéric

  6. Albert
    Léon Marie Ghislain, né à Bouillon le 7 octobre 1915. Ordonné prêtre du diocèse
    de Tournai le 25 mai 1941. Vicaire à Charleroi, curé à Ormeignies, à Chapelle-à-Wattines,
    à Rumes (1959-1962), à Anderlues, à Lobbes-Bonniers. Décédé à Néchin le 4
    juillet 2002, inhumé à Lobbes. (7).

  7. Jean Paul Ghislain, né à Bouillon le 17 novembre 1916, décédé à Soheit-Tinlot,
    accidentellement, le 10 avril 1965. Il épouse à Andrimont, en 1938, Maria
    Lahaye
    (8). Dont :

    7.1. Madeleine.
    Epouse Julien Nivart. Mariage dissous. Dont :

    7.1.1. Kathy,
    épouse Alain…

    7.1.2. Sabine

    7.1.3. Eliane,
    qui épouse Jean-Pierre Fox

    7.1.4. Isabelle

    7.2. Jean-Louis.
    Il épouse Denise Hennen. Dont :

    7.2.1. Christine

    7.2.2. Fabienne.
    Elle épouse à Villers-Perwin le 1er avril 1989 Gilles Gonnay,
    de Dinant. Habite Nivelles place Emile de Lalieux

    7.2.3. Caroline

    7.2.4. Jean
    Denis

    7.2.5. Frédéric

    7.3. Marie-Thérèse.
    Epouse André Vlassis. Dont :

    7.3.1. Claire,
    mariée et divorcée. Dont une fille.

    7.3.2. Yannick

    7.4. Jeanne,
    employée Art du Livre 22 rue de Bruxelles à Nivelles. Epouse Henri Dupont.
    Rue Seutin, 39, 1400, Nivelles. Dont :

    7.4.1. Olivier

    7.4.2. Cécile

    7.5. André.
    Epouse Cécile Wayemberg. Rue de la Station, 41, 6040, Jumet. Dont :

    7.5.1. Benoît

    7.5.2. Laurence

    7.5.3. Olivier

    7.6. Jacques.
    Epouse Carine Coster. 25, rue de l’Yser, 6239, Pont-à-Celles.
    Dont :

    7.6.1. Nicolas,
    né vers 1987/88

Notes :
1/ Eliane Meurs, rencontrée par la maman de Jeanne Meurs (fille de Vital) en pension chez les sœurs à Ittre. Eliane parlait de ses cousins qui travaillaient au palais.
Comme fonctionnaire de l’enregistrement, le père a beaucoup voyagé et la famille déménagé. C’est ainsi qu’ils ont vécu à Bouillon et à Verviers.
Eliane avait deux cousines qu’elle aimait comme des sœurs : Aimée et Estelle Robert, descendantes de Nicolas Meurs. Elles apparaissent comme marraines des enfants.
Voir le texte du souvenir mortuaire ; notamment la maladie qui l’a conduite à la mort.
2/ Henriette Corbisier a toujours vécu avec son père et son frère Albert, curé. Elle est décédée chez lui à Lobbes. Ils ont fait tous les deux le voyage en Israël pour la première fois en 1977, pour aller visiter leur frère Louis au monastère de Latroun.
3/ Marie Corbisier et Alexandre Tomascesky. Alexandre, russe, prisonnier de guerre par les allemands à rencontré Marie au sanatorium de Marcinelle où il était soigné. A disparu sans prévenir, après la naissance de sa fille, vers 1960. Selon André Querton, il était espion, et a été rappelé par ses chefs. Il habitait alors à Vladivostock. Marie l’y a retrouvé et a repris contact après plus de 10 ans. Il est revenu en Belgique en 1989, après 29 ans d’absence.
En 1988, elle habitait Tamines, rue de Velaines, au Home des Alloux.
4/ Louis (Père Elie) : la photo qui représente la famille au complet (sauf la maman décédée) a été prise la veille de son entrée à Orval).
Témoignage de son frère Albert en 1989 : Louis est entré très jeune à la Trappe, il avait 17 ans en 1929. C’est le vicaire de Saint Remacle qui s’est chargé d’annoncer la chose au papa.
Louis était très attaché à l’abbaye de Sept Fons, laquelle avait reconstruit Orval en 1926. Louis n’est pas resté longtemps à Orval puisqu’il est parti en 1935 pour Latroun : l’abbaye est fondée à l’un des endroits traditionnellement attachés à l’histoire des pèlerins d’Emmaüs. Il est allé là-bas à la demande de Dom Chautard, abbé de Sept Fons, et entre autres parce que le climat très humide d’Orval ne lui convenait pas beaucoup.
Au moment de la guerre, il a été mobilisé par les anglais, comme tous les ressortissants belges ou étrangers sur les territoires gérés par les anglais. Il a été versé dans un régiment de para-commandos, et il a plusieurs fois failli y laisser sa peau !
Dès la guerre terminée, il a voulu rentrer aussi tôt que possible au monastère. Comme il ne pouvait tout de suite rentrer en Israël, il est allé à Orval. « La place d’un moine est dans le cloître », disait-il. Il n’a même pas béni le mariage de son frère Florent, bien que le faire-part ait annoncé qu’il présiderait la cérémonie avec son frère Albert.
Article de « La Sennette » collé dans le registre paroissial d’Ecaussinnes Saint Remy auprès de l’acte de naissance : Nos concitoyens à l’honneur.
Nous apprenons que le R.P. Elie (dans le monde Louis Corbisier) vient d’être élu Abbé de la Trappe d’El Latrun en Palestine.
Le nouvel Abbé – qui prend rang d’évêque – est le fils de notre ancien concitoyen M. Joseph Corbisier, résident à Ormeignies, près d’un autre fils, curé de cette localité.
Le Père Elie, né à Ecaussinnes, a pris l’habit à Orval en 1935 ; de là, il a été envoyé à El Latrun. La guerre est venue l’arracher à son cloître et il vécut aussi « ses cloîtres dans la tempête »… Aumônier du 10e commandos, il a fait toute la guerre et participa aux débarquements en Yougoslavie, Italie, Hollande. Il avait gagné l’affection de ses hommes, parmi lesquels se trouvait notre ami Gaston Bougard.
Ayant rejoint son cloître en 1945, il y fut blessé au cours d’engagements entre Arabes et Israéliens.
Nous saluons respectueusement le nouvel abbé et lui offrons nos vœux d’apostolat fécond. Nous présentons nos félicitations à la famille Corbisier et particulièrement à son père.
Rencontre du Père Elie avec le Pape Jean XXIII , une photo et un texte manuscrit au verso :
Le 1er septembre 1962, S. S. Jean XXIII, allant de Castel Gandolfo à Rome, s’est arrêté à l’abbaye de Frattocchie où l’attendait le Chapitre Général des Cisterciens de la Stricte observance. Après son exhortation, le Saint Père a accueilli chacun des capitulants présentés par le Rme Père Général : « – Cet abbé vient de Terre Sainte. – D’où ? – De Latroun – Je connais Latroun ; j’y suis passé, vous n’étiez pas encore né, en 1905. Dans la suite, je suis allé aussi au Liban. – Très Saint-Père, nous espérons fonder un monastère au Liban, en rite maronite – C’est bien ! Un grand respect pour les autres rites. »
Discours de Dom Paul, abbé de Latroun, aux funérailles de Dom Elie, figurant au dos de son souvenir mortuaire :
« Recto cursu, une course droite, comme une flèche qui ne connaît ni détours, ni retards. C’est bien cela la vie de notre Père Elie. Il n’était pas l’homme des compromis, des demi-mesures, du oui et du non. Il n’était pas davantage l’homme des hésitations, des engagements pris à moitié, il était celui qui ayant vu une fois le but à atteindre, s’orientait droit sur lui, et rien ne pouvait dès lors l’en détourner ou retarder sa marche.
« Il ne pouvait comprendre ni admettre, pour lui-même ou pour les autres, qu’ayant vu que Dieu, le Christ est notre unique bien, on ne se donne pas tout entier sans réserve à Lui, qu’on ne lui donne pas tout ».
5/ Florent Corbisier : une note se trouve près de son acte de baptême : en 1930 à l’abbaye d’Orval. Le couple Corbisier – Dorzée habitait 25, rue des Combattants à Chapelle-lez-Herlaimont.
6/ Paul Corbisier, a une fille Anne-Marie Corbisier. Est-ce elle qui fait de la politique au Cdh ?
7/ Albert Corbisier. Le 12 mai 1981, il avait pris l’initiative d’écrire au Père Poumay, alors responsable de la revue DBA ; lettre qui m’a été transmise : « Mon Père, je reçois la revue « Don Bosco Aujourd’hui » et je vois dans les écrivains de cette revue un nom qui m’a frappé : Jean-François MEURS, c’est le nom de ma mère, Eliane Meurs, née en 1888 à Ecaussinnes d’Enghien et décédée en 1918 à Bouillon, je n’avais pas trois ans ! C’est justement le 12 mai 1918 qu’elle est décédée ; c’est son anniversaire aujourd’hui. Comme ce nom n’est pas tellement répandu, je voudrais connaître davantage cet écrivain. Peut-être sommes-nous parents ? Le nom n’est pas tellement répandu. J’apprécie votre revue, jeune et dynamique dans l’esprit de Don Bosco, etc. » Cette carte est une de celles qui m’ont ouvert à la généalogie et incité à voir plus loin. Pour avoir rangé et classé les documents au grenier de la ferme d’Obaix, à la demande de maman, je savais qu’il existait des carnets d’adresses. En y jetant un coup d’œil, j’avais pu deviner qu’Albert descendait de Charles Floris Meurs.
Je l’ai rencontré à Lobbes, paroisse des Bonniers en 1989. Nous avons dîné ensemble. Il m’a fourni de nombreux renseignements sur ses frères et sœurs, neveux, etc. Et il m’a permis de reproduire quelques photos.
Il s’appelle Albert par patriotisme, en référence au Roi Albert résistant à l’Yser, et parce que cela faisait enrager les Allemands lorsqu’on donnait ce nom à un enfant, raconte l’abbé Corbisier lui-même (parallèlement, beaucoup de filles s’appellent Elisabeth, comme la reine). Au moment de la guerre, il a été mobilisé et fait prisonnier. Quand il est rentré en 1941, les étapes pour son ordination ont été accélérées, et il a été ordonné le 25 mai de cette année-là.
Curé d’Ormeignies : « quel contraste entre cette petite paroisse et celle de Charleroi Ville Haute ! », écrit-il dans une de ses lettres que je conserve. Son père vivait avec lui. C’est ainsi qu’ils aimaient aller jusqu’à Cambron-Saint-Vincent où existait encore le cousin Cyrin Meurs et son épouse « Gènie du tram ».
À Rumes, près de Tournai, où il n’est resté que trois ans, il a cependant marqué fortement les esprits. Il y a fondé un patro qui fut promis à un très grand développement. Les habitants de Rumes, surtout les jeunes, ont beaucoup regretté son départ (propos recueillis auprès de collègues professeurs à Don Bosco Tournai, et notamment de Bernard Leclercq, qui a écrit une histoire de la paroisse de Rumes).
Extrait de « Rumes, sur les chemins du Passé » par Bernard Leclercq, 1984.
« Nous arriva alors de la cure de Chapelle-à-Wattines, l’abbé Albert Corbisier, nommé curé de Rumes le 18 août 1959. Son passage dans notre paroisse fut un des plus courts que l’on puisse trouver.
« Premier prêtre « motorisé », en 2 CV, il n’hésita pas à relancer, dès son arrivée, le patro des garçons, puis celui des filles. Les anciens de ces mouvements se souviennent encore de son dynamisme et de sa bonne humeur.
« Une section jociste fut également réformée.
« C’est à lui qu’on doit le chemin de croix dans les rues du village et le passage de la procession du 15 août dans la rue du Sentier.
« Homme de contact et de bon conseil, il s’évertua à visiter chaque foyer.
« Voulant ‘démocratiser’ le système des chaises en vigueur, il fit l’acquisition de nouvelles, toutes semblables. Comme on peut le lire dans les délibérations du Conseil de Fabrique, il avait d’autres projets pour l’église. Mais déjà, le 2 octobre 1962, il était appelé par son évêque à de plus lourdes responsabilités, à la cure d’Anderlues.
« Aujourd’hui, il veille sur la modeste paroisse rurale de Lobbes-Bonniers et, de temps à autre, il revient dans son ancienne paroisse où son souvenir est resté bien vivant et son passage pendant 3 ans fort apprécié. »
8/ Jean Corbisier. Son épouse Maria Lahaye vivait à Fontaine-l’Evêque, 1, rue du Hanois en 1989.

  1. Jean-Pierre Fox, époux d’Eliane Nivart, a été mon collègue à Remouchamps. Il avait promis de me fournir les renseignements sur la famille de sa femme, mais rien n’est venu. Il participait au rassemblement des Corbisier à Ecaussinnes, l’âme du rassemblement était l’abbé Albert Corbisier.
  2. Jean-Louis Corbisier tient une maison de repos à Villers-Perwin, rue Ernest Aubry

9/ Photo de la famille :

Jean-François Meurs