Une remontée dans la généalogie Maghe (Croone-Piret)

Crayon généalogique MAGHE (Macq) L’article « Quand les moulins rythmaient la vie nivelloise » paru dans les Annales de la Société royale d’Archéologie, d’Histoire et de folklore de Nivelles et du Brabant wallon, tome XXVIII-XXIX, 2003, permet d’ajouter deux générations à l’ascendance Croone / Craunembrouck, ancêtres PIRET. Nous découvrons aussi que Remy Maghe et ses ancêtres étaient meuniers, liés au moulin de Nobiwez de Baulers. Ce moulin dit aussi « Moulin Pany » se situe à Baulers en contrebas de la rue de la Longue Bouteille, côté opposé à la ferme du Clacbois, à 200 m environ. I – Nicolas Lire la suite…

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Un récit à propos de Nicolas Neuwels

Nicolas Neuwels, « enfant de la patrie » J’ai toujours entendu parler de mon arrière-grand-mère Joséphine Neuwels et de ses deux sœurs Adèle et Elise. Elles étaient très liées, et ma grand-mère Marie Mainil aimait bien sa cousine Joséphine Detant, fille d’Adèle, et son cousin Jules Courtain, fils d’Elise. Joséphine avait une santé fragile, et on la ménageait. Elle a beaucoup souffert de la mort de son fils François, qu’elle chouchoutait, et qui a été tué à la fin de la guerre 14-18 dans une des dernières offensives. Ma grand-mère connaissait mal son grand-père Neuwels. Lorsqu’en 1940, son fils Paul Lire la suite…

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L’eau et le vélo : la famille Meurs à Ephata

L’eau et le vélo Notre camp vélo Ephata 14/16 2004 s’est déroulé en Bretagne, à Coat an Doc’h, sur le site de l’école d’horticulture et du lycée Don Bosco. Ce n’était plus, comme tous les deux ans, le trajet d’un pèlerinage, avec sa spiritualité du départ et d’un but à atteindre, étape par étape, à force de déménager, mais un tour, à l’instar du Tro Breiz, le tour de Bretagne, qui inscrit un espace sacré à l’intérieur d’un cercle ou trèfle protecteur. Les cyclistes étaient invités à explorer leur espace intérieur, en faisant le tour d’eux-mêmes, et à créer un Lire la suite…

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Jean sans Peur, duc de Bourgogne

Jean sans Peur, duc de Bourgogne Bertrand Schnerb, spécialiste de la société et des institutions bourguignonnes, réhabilite le personnage dans sa biographie récente : « Jean sans Peur, le prince meurtrier ». Jean sans Peur figure parmi les ancêtres de la famille Meurs. Depuis le XIXe siècle, l’historiographie française traditionnelle n’a pas été très indulgente pour Jean sans Peur, deuxième duc de Bourgogne de la Maison des Valois. Michelet avait donné le ton dans son « Histoire de France », suivi par les auteurs « classiques », faisant de lui un personnage inquiétant. Parfois les mots ne sont pas trop Lire la suite…

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Le Berceau des Mainil

Le hameau de la Saisinne à Thieusies Philippe Mainil, 1705-1751, est dit « manant de la Saisinne » sur son acte de décès. Il est bien possible que ses ancêtres aient été établi depuis longtemps dans ce lieu-dit. La Saisinne est un hameau important de Thieusies. En 1767, donc peu de temps après le décès de notre Philippe, une requête des habitants visant à l’installation d’une vicairie dans la paroisse fait état de 154 communiants et quinze enfants. L’église paroissiale se trouve à une demie lieue du hameau. En cas de pluie, l’accès est difficile. Il semble que le hameau Lire la suite…

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Familles MEURS en France, divers

Familles MEURS en France, divers I – Adolphe Armand MEURS Décédé à Enghien les bains Dont : Pierre Adolphe Meurs, né à Rosny s/s Bois (Seine) le 5 novembre 1905, décédé en 1970. Sa veuve, Madeleine Meurs, m’écrit en août 1995. Habite 5, place Venoire, 14000, Caen. Elle ne semble pas la mère de Jacques qui suit, car elle écrit : « Mon mari Pierre Meurs a eu un fils Jacques Meurs décédé célibataire sans enfants ». Dont : 1.1. Jacques, décédé en 1966, célibataire, sans descendance Jean Meurs, décédé au Mexique. Sa veuve, Marie Meurs, vit toujours au Mexique Lire la suite…

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Une famille Moers/Moors, prononcé Meurs, à Nivelles

Trace d’une famille MOERS à Nivelles et environs + variante MOORS, très probablement prononcé MEURS (Les notations ne sont pas exhaustives). I – Guillaume MOOERS Epoux de Marie Madeleine MELIS, dont : Norbert, qui suit en II C’est peut-être de lui qu’il s’agit dans l’épitaphier de Nivelles, p. 487 : Au faubourg de Soignies, au bas d’une petite chapelle, se trouve l’inscription en chronogramme : G M00ERS CeLsIssIMoDICo Qui donne le millésime 1753 Nb : un indice que la prononciation pouvait être « Meurs » : les mêmes tables transcrivent Moerisse Marie-Françoise, qui épouse Genet Georges Jh en septembre 1760. Lire la suite…

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Des occurrences anciennes et isolées du patronyme Meurs en W

Des occurrences isolées du patronyme MEURS / MŒURS Ces occurrences sont dispersées dans l’espace et dans le temps. Elles demandent à être rattachées. En attendant, elles peuvent servir d’indices. Josine MEURS, Mons, 1550 A.E.M. (Archives de l’Etat de Mons), A.V.M. Massarts, 425, p.55, 1550-1551 : … de Josine MEURS, vesve de Thomas de MAY. La quelle vint le 5e mars 1550 de Bailloel en Flandres demorer en ceste ville de Mons, par congié de Mess. Ayant veu certiffication du curet dud. Bailloel. A este receu pour nouvelle bourgeoise. Jacque MŒURS, Brye (Charleroi) vers 1600-1660 In « Société royale paléontologique et Lire la suite…

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Jean-Baptiste Meurs et la « Chapelle du Dî »

Jean-Baptiste Meurs et la « Chapelle du Dî » Le n° 33 des Cahiers du Grand Manage, premier trimestre 2004, vient de publier un article concernant la « Chapelle du Dî » à Bellecourt, écrit par Christian Venderstoken. L’auteur de l’article émet l’hypothèse que le bâtiment actuel aurait été reconstruit à l’occasion de la mort accidentelle d’Oscar-Ghislain Meurs, fils de Jean-Baptiste, âgé de deux ans, écrasé par la roue d’un chariot dans la cour de la ferme. En effet, l’édifice ne figure ni sur le plan du comte Ferraris (vers 1775), ni sur le plan cadastral de 1860 dit « Lire la suite…

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YEL

YEL : le rock aussi est une affaire de famille Avec leur récent album, « Intimes illusions », les quatre de YEL risquent de sortir de l’intime pour être remarqués par un large public et d’aller au-delà des illusions en concrétisant leurs rêves. Le premier CD, « Entre sagesse et Ivresse », sorti en 2001, avait eu un modeste succès, grâce à des qualités déjà évidentes. Celui-ci commence à faire couler l’encre dans les journaux et les magazines. Y a pas de doute, YEL, c’est du rock, avec un son rock qui ne date pas d’aujourd’hui, des guitares qui saturent Lire la suite…

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